Libreville a accueilli les 1ᵉʳ et 2 mars 2023 la première édition du One Forest Summit. Ce rendez-vous international co-organisé par le Président Ali Bongo Ondimba et le Président Emmanuel Macron était dédié à la protection de la biodiversité et en particulier celle des forêts tropicales.

Pourquoi cet évènement nous concerne-t-il tous ?

La tenue de cet évènement a marqué un tournant significatif dans la prise de conscience mondiale quant à l'importance de la protection des forêts tropicales. Ces dernières abritent une riche biodiversité, constituant le foyer de millions d'espèces végétales et animales. Préserver ces forêts revient non seulement à préserver les habitats de ces différentes espèces, mais surtout renforcer leur impact positif pour la planète. Ces écosystèmes absorbent des quantités non négligeables de carbone et nous avons la responsabilité de les protéger.

Leur destruction ? Dangereuse, elle contribue à libérer d'importantes quantités de dioxyde de carbone dans l'atmosphère, exacerbant ainsi le réchauffement planétaire et les conséquences néfastes qui en découlent.

Comment Asonha Energie intègre-t-il la protection de la biodiversité dans son projet ?

Aux côtés de nos partenaires, nous avons organisé une discussion de panel modérée par Anne-Marie Dias Borges, journaliste à la BBC en marge du sommet afin de partager les différentes actions que nous mettons en œuvre en matière de protection de la biodiversité. Construire un barrage en milieu tropical nécessite la prise en compte de nombreux aspects en matière de biodiversité : « La gestion de la biodiversité fait partie de notre ADN. Nous avons planifié cela depuis le début, nous l'avons budgétisé et nous avons alloué les moyens nécessaires à l’embauche du personnel » — Sylvain Bouyé, Directeur Général d’Asonha Energie.

Le projet de construction du barrage hydroéléctrique de Kinguélé Aval illustre la possibilité de concilier protection de l’environnement et construction d’une infrastructure d’ampleur. Découvrez comment :

1. En permettant l’économie de plus de 73 000 tonnes de CO2 par an grâce à la production d’une énergie renouvelable
2. En protégeant avec nos partenaires publics une surface de près de 2000 ha localisée en zone tampon du Parc National des Monts de Cristal
3. En allouant un budget d’environ 3 millions d’euros pour la gestion d’impacts environnementaux et sociaux après la phase de construction

Retrouvez quelques images de notre événement :